• Un trait de caractère m'a particulièrement plu chez celui qui allait devenir mon guide. Il est d'une persévérance sans commune mesure, il sait ce qu'il veut et se donne les moyens de l'obtenir. Que ce soit pour trouver un bel endroit , une jolie figure, ou tout autre chose il ne cède jamais à la facilité du "passable" il veut le "meilleur". Et pour y parvenir il prend le temps nécessaire, jusqu à ce qu'il ai satisfaction.  Il est tout aussi exigeant en ce qui concerne les personnes que nous rencontrons, son choix sera guidé par son instinct, il laisse "parler" le feeling, trois phrases échangées lui suffisent pour se faire une opinion. Peut importe que les personnes soient "débutants" ou plus "expérimentés", un seul critère est pris en considération, leur valeur du bdsm.

    kahoru016


     Cette sélection quantifie les rencontres mais en souligne la qualité. Elles m'ont permis des expériences inoubliables, mon premier fist sur une soumise (ma chouchou, elle se reconnaîtra). Un moment d'une rare beauté que j'ai vécu avec beaucoup d'intensité et d'émotion et qui est encore aujourd'hui, très présent dans mon esprit.
    Cette autre aussi où Mon Maître m'a confié à un Dominant spécialiste de la fessée. J'ai découvert que l'on pouvait en jouir, une découverte inattendue, moi qui clamait "je n'aime pas ça!", Mes fesses en ont eu pour leurs frais!!! J'ai dépassé ce soir là une limite dont je ne me croyais pas capable.
    Je profite de cette évocation pour remercier encore le Maître "fesseur" pour cette découverte et Mon Maître pour avoir eu le bon feeling...comme une évidence s'en suit un bon ressenti.

    Rue Bricabrac, bdsm, rouge

     

                                                

     


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  • L'esprit encore engourdi de sommeil, je goûte au plaisir de la fraîcheur matinale accentuée par l'orage de la veille tout en buvant mon café.
    Le "bip" très particulier qui annonce "nouveau message" retentit dans la chambre.
    "A cette heure !! Peux même pas boire mon café tranquille..."
    J'oublie instantanément mon mécontentement...Un message de Maître :" Bonjour *elle, après ta toilette je veux que tu mettes en place le petit bijou que tu affectionnes et ton plug.Attention ils doivent rester en place, je serai là pour le déjeuner."
    Mon esprit réfléchit tout azimut...houa le rosebud et le plug!!! je vais grimper aux rideaux!!!...Ahh... j'avais prévu d'aller chez le coiffeur ce matin, la contrainte est de "taille", marcher, s'adresser aux gens, sentir mon sexe humide, gorgé du plaisir de me sentir pleine des envies de mon Maître, sourire comme si de rien n'était...   le déjeuner!!! Je n'aurai jamais le temps!!!...Ohh misèèère...
    Je m'empresse cependant d'obéir, je file à la salle de bain déjà toute excitée par l'ordre de Mon Maître...L' imagination divaguant bon train...
    Mumm...en attendant laissez allez la votre... je vous raconterez la suite une autre fois peut être...tout comme la fois ou Maître désirant profiter de la fraîcheur du soir , décida que nous allions faire une promenade au bord de l'eau.
    "Ta tenue est parfaite, tes jolis dessous en dentelle, tes bas, tes talons...un léger trench suffira, il fait doux ce soir...Tiens je vais inviter mon amie P.... à se joindre à nous, cela va beaucoup l'amuser je pense."...
    Sur l'instant je ne m'amusais pas du tout , moi!!!...
    Je ne vous l'avez pas dit, pour ce qui est de vous "tournebouler" l'esprit, Maître est diabolique...Toujours quand on s'y attend le moins...J'adore!!!!  
     

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  • -Lève toi *elle

    Et joignant le geste à la parole, il m’empoigne par les bras pour me relever. Il dégage les cheveux sur mes yeux et murmure à mon oreille "Tu vas te mettre face au mur jambes écartées, je veux que tu te laisses faire".

    Me voilà avec pour seule vision la paroi en pierre, jambes et bras écartés, dos cambré. Maître fait signe à J. de s’approcher et lui demande de me caresser. Il commence par les chevilles et remonte lentement sur les mollets, s’aventure sur le haut des cuisses. Je perçois son trouble, ses caresses sont « timides ». Après plusieurs va et vient sur l’extérieur des jambes, il s’enhardit et ses mains effleurent maintenant l’intérieur des cuisses, remontent sur les fesses… s’y attardent même. Petit à petit J. se laisse envahir par le jeu et continu l’exploration de mon corps, il remonte le long du dos, descend sur les bras, se plaque un peu plus contre moi et enserre mes seins  alternant pressions et caresses. Il glisse une main dans mon soutien- gorge et s’empare de mon téton, l’effet est immédiat, le téton se dresse fièrement comme pour montrer son approbation.

    Cela fait une dizaine de minutes que J. joue ainsi avec mes sens, Maître m’ordonne de me retourner et de retirer mes dessous. C’est totalement nu que je me positionne le dos contre la paroi. Les mains de J. reprennent rapidement leur investigation, mon sexe humide traduit mon excitation.

    Je ne connais pas les intentions de Maître et les scénarios possibles se bousculent dans ma tête. Je me laisse aller à imaginer ceux qui auraient sa préférence, mais connaissant son imagination je sais que c’est peine perdue…J’en ai déjà fait l’expérience, pour mon plus grand plaisir. Avec lui tout peut arriver, il peut aussi bien décider de tout arrêter, ce qui soit dit en passant se révèle aussi une expérience à vivre.

    Pendant que mon esprit vagabonde J. ne reste pas inactif. Si j’en juge par la bosse que je sens sur ma cuisse, ce petit jeu l’émoustille un tantinet.

    Maître s’approche une cravache à la main, il tapote mes seins, agace mes tétons avec le bout de la cravache, l’intérieur de mes cuisses ce que je dois traduire par un écartement plus conséquent de mes jambes et lui permettre ainsi de vérifié mon état "d'humidité", J. est en retrait… Maître plonge son regard dans le mien, un regard profond qui intensifie ce lien magique et unique qui qualifie l’osmose et l’extase d’une relation Maître soumise. Il me souffle la suite du scénario qu’il envisage pour cette rencontre…

    Je rejoins J. et l’entraine par la main jusqu’au mur, c’est maintenant moi qui me plaque contre lui l’obligeant ainsi à ressentir les sensations de la pierre contre son dos. Mes mains découvrent à leur tour le corps de J. faisant monter son désir qu'il traduit par une respiration sacadée.

    Il n’a plus le droit de me toucher , je suis "maître du jeu" et lui fait sentir l’effet de ses caresses en frottant mon sexe humide sur sa cuisse, provocant de cette façon une violante poussée de désir chez J.

    Sans que mon regard ne quitte le sien je m’accroupie devant lui et entreprend de faire connaissance avec son sexe dont la taille prouvait son degré d’excitation. Mes mains  se posent sur ce sexe gonflé, ma langue ensuite, furtivement , comme un délicieux agacement, puis enfin ma bouche gourmande s’empare de ce pieu prêt à exploser…Mais ce serait trop facile mon cher J… mes mains prennent la place de ma bouche, ma langue revient titiller le glang avant de l’engloutir à nouveau le faisant grossir encore et encore…jusqu’à ce que n’y tenant plus  son plaisir explose au fond de ma gorge…un dernier soubresaut secoue le corps de J…je remonte lentement à sa hauteur, ses yeux sont clos et sa respiration encore rapide, mes mains caressent sa poitrine, j’approche mon visage du sien, cherche sa bouche , il entrouve les lèvres et je laisse lentement couler sur sa langue le sperme qu’il avait généreusement fourni, pendant que mes ongles lui pinçaient délicatement le bout des seins…

    Merci Maître pour ce délicieux tourment et merci à J. de sa participation.


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  • Je m'engage dans l'allée, lieu fixé pour le rendez-vous. Il est là, tenant une rose rouge à la main comme convenu.

    J'arrête la voiture à sa hauteur, il se penche à la portière, "Vous êtes J.? Montez" lui dis-je, après sa réponse affirmative.

    -Bonjour *elle, dit-il en se penchant pour me faire "la bise"

    Un imperceptible mouvement de recul lui fait comprendre que je ne souhaite pas cette marque de familiarité.

    -Bonjour J.

    -J'étais très impatient, j'ai eu peur que vous ne veniez pas, je suis ravi de faire enfin votre connaissance.

    Vous êtes d'une exactitude exemplaire.

    Un coup d'oeil sur le tableau de bord, il est précisément 14h30.

    -Maître est très strict sur de nombreux points, la ponctualité en est un.

    -Attachez votre ceinture J. et ne posez plus de questions.

     

    Je dialoguais depuis plusieurs semaines avec J. un soumis qui avait très rapidement manifesté le désir de me rencontrer et d'être aux ordres et désirs de mon Maître.

    Je quitte mon stationnement, je sens le regard de J., je sais que milles questions lui traversent l'esprit, il faut dire que la situation s'y prête.

    Maître connaît mon attirance pour les mises en situation peu ordinaires et j'ai été très enthousiaste à l'élaboration du scénario qu'il a préparé. Un mélange de mystère et de glamour, qui exacerbe mon attrait pour la séduction et l'inconnu. L'excitation qui monte en moi  n'a certainement d'égal que la multitude de question que se pose mon "invité".

    J'ai une tenue précise  pour cette rencontre, une robe rouge boutonnée devant, des dessous assortis, des chaussures du plus bel effet avec un joli noeud pour les attacher, des lunettes de soleil et un foulard sur les cheveux.  

    Le souvenir de la belle Audrey Hephburn au volant d'une décapotable me revient en mémoire...

    -Je te veux belle et inaccessible, m'avait recommandé Maître... Ne réponds à aucune question jusqu'à ce que nous soyons ensemble.

    Je n'ai pas de décapotable mais j'ai mis un point d'honneur à être le plus fidèle possible à ce souvenir.

     

    La circulation est dense à cette heure,je sens l'état de fébrilité de J.qui augmente, tantôt un regard sur la route tantôt sur moi.

    -Puis-je vous poser une question s'il vous plaît *elle?

    -Non, répondis-je sans quitter la route des yeux.

    je ne peux éviter le léger sourire que me procure la situation, je me reprends rapidement et me concentre sur la route. Je joue le rôle que m'a attribué Maître avec beaucoup de plaisir.

    Nous roulons depuis environ dix minutes, J. n'a pas encore remarqué que je m'efforce de ne pas me laisser distancer par le véhicule qui nous précède. Nous prenons une bretelle de sortie et le trafic devient plus fluide au fur et à mesure que nous approchons de l'endroit choisit par Maître.

    -Où allons nous? Où est votre Maître? Sera-t-il présent? Demande J. le ton laissant deviner une légère panique.

    -Pas de questions J.

     

    Je m'engage sur le chemin emprunté par la voiture de Maître, J. réalise alors que tout est sous son seul contrôle. Nous le rejoignons et pendant que J. balbutie les politesses d'usage, Maître passe la laisse dans l'anneau de mon collier dissimulé jusqu'alors par mon foulard. Il tend la laisse à J. et nous avançons sur le chemin pour arriver à un petit tunnel.

    -Voilà un endroit parfait, tranquille et insolite comme je les aime.

    Tout en questionnant J.sur ses attentes de cette rencontre, Maître égraine subtilement les boutons de ma robe et la dépose sur une pierre proche.

    Je suis maintenant à moitié nue devant un inconnu.

    -A genoux *elle, m'ordonne-t-il en tirant ma laisse vers le bas.

    Instantanément je prends la position demandée, Maître demande

    -Que pensez vous de ma soumise J.? Tout en posant la question il sort de sa poche un petit sachet contenant des petits fours qu'il avait eu la délicate attention d'acheter chez le pâtissier le plus renommé de la ville.

    J. ne perd rien de la scène, sa réponse en est presque inaudible, il ne cautionne pas, il trouve cela dégradant. Je m'abstiens de lui répondre, lui dire mon bonheur et ma fierté de manger dans la Main qui me guide et me fait vibrer.

    D'aucun font manger leur soumise dans une gamelle. Mon Maître quant à lui m'accorde le grand privilège de me faire manger dans sa Main.

    La voix de Maître par contre résonne claire et nette.

    -A quatre pattes *elle.

    A nouveau instantanément je prends la position demandée. Une nouvelle fois J. est invité à commenter ma position, mon humiliation est à son paroxysme, je suis là en dessous, à quatre pattes, détaillée dans les moindres détails et de plus dans un lieu ou n'importe qui peut arriver. Un sentiment de honte m'envahit, comme toujours quand je suis exhibée, humiliation, une position incorrecte, les qualificatifs employés pour me décrire, le lieu, un mélange explosif pour la cérébrale que je suis. Inévitablement traduit par l'humidité de mon sexe et l'excitation qui aussitôt monte d'un cran... et dans ce cas précis, deux crans... 


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  • Les mots se bousculent dans ma tête pour vous parler de lui, de celui qui me fait exister, celui qui me fait vibrer et plier .
    Je pourrai vous dire...et aussi vous parler de....ou encore vous dire...

     

    J'ai essayé à cent reprises
    De vous parler de mon ami
    Mais comment parler d'une église
    Dont l'accès vous est interdit

    Mais ce soir je sens sous ma plume
    Un fourmillement famillier
    Quand le soleil du cœur s'allume
    L'éteindre serait un péché


    C'est mon ami et c'est mon maître
    C'est mon maître et c'est mon ami
    Dès que je l'ai vu apparaître
    J'ai tout d'suite su que c'était lui
    Lui qui allait m'apprendre à être
    Ce que modestement je suis


    Comme une chèvre vendéenne
    De ses secrets il est jaloux
    Et même s'il a de la peine
    Il ne vous parle que de vous

    Il conserve de son bel âge
    Un sourire au fond de ses yeux
    Et je me dis que c'est dommage
    De vous le décrire sans cheveux


    C'est mon ami et c'est mon maître
    J'le vouvoie encore aujourd'hui
    Et quand j'ai mal dedans mon être
    Je passe une heure ou deux chez lui
    L'air qu'on respire à sa fenêtre
    C'est l'air le plus pur de Paris


    Il porte en lui dur comme une arme
    Un orgueil au-delà de tout
    Au point que même au bord des larmes
    Il vous fera croire qu'il s'en fout

    C'est lui qui a fortifié mon âme
    Et si je suis encore en vie
    Je ne le dois pas à cette femme
    Qui me rend heureux aujourd'hui


    Mais à mon ami à mon maître
    Et dans la chanson que voici
    Je sais qu'il va se reconnaître
    Mais puisque nous sommes entre amis


    Ce soir je peux bien me permettre
    De vous le présenter aussi

     

    Serge Lama - Mon ami, Mon Maître


    ...Et je sais depuis pourquoi j'existes, il est le Maître de mon âme. A genoux dans l'ombre de sa Main, ce qu'il fait de moi, ce que je vois dans son regard, rien n'a plus de valeur. 

    .

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