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    Elle pousse la porte, lentement avance de quelques pas dans la pièce, s'arrête,,,attend, les bras dans le dos, le regard baissé,,,

    Elle est belle, grande, mince, uniquement vêtue de bas , juchée sur d'interminables talons hauts accentuant d'avantage encore sa stature, de longs cheveux blonds entourent un fin visage avec de magnifiques yeux bleus.

    Son compagnon qui la suivait referme la porte derrière lui et sans prononcer une parole va se placer à côté de Maître.

    Un charmant jeune couple attiré par ce monde de plaisirs particuliers mais intenses , souhaite une approche sérieuse, un accompagnement pour leur permettre de faire leurs premiers pas dans les meilleures conditions.

     

    Une musique en fond sonore se diffuse dans la pièce, de la place que Maître m'avait indiqué, j'observais discrètement cette belle «apprentie soumise» que j'appellerais Maïko dans ce récit,,, La respiration légèrement saccadée qui soulève sa poitrine et ses doigts derrière son dos qui bougent subrepticement témoignent de son appréhension à moins que ce ne soit de son impatience à découvrir,,,

     

    Les minutes passent, augmentant la tension, la voix de Maître s'élève enfin pour s'adresser à Maïko, lui demandant d'exécuter quelques positions qu'elle avait appris la veille ( ah, moi qui ai eu un mal fou à les enregistrer, j'envie la facilité de la jeunesse! ). Il profite de cette répétition pour lui redemander si elle est prête, si son envie est autant vivace, si ce désir , ce besoin de soumission qu'elle ressent lui tenaillent toujours l'esprit, jusque dans les ...Tripes.

    Le «oui» imperceptible, comme étranglé dans la gorge de Maïko n'était pas acceptable pour Maître, il lui en fait la remarque très sèchement, quelques secondes passent, «Alors!! j'attends !» et osant pour la première fois le regarder, presque avec défi, lance un «oui» ferme .

    Touchante de fragilité tout autant que de volonté... Il se dégageait d'elle une envie ,un désir si fort qu'il en était palpable.

    «Et bien, nous allons voir ce que tu peux donner!»

    Le regard de Maître m'ordonne de venir me placer à côté de Maïko pour l'accompagner dans cette découverte. Il commence par lui «présenter quelques ustensiles», certains plus apprécies que d'autres , déjà la pression de sa main sur la mienne me le dit, et les sanglots étouffés qu'elle retient sont une confirmation. Ils n'ont pas échappés à Maître qui lui en demande la raison. La réponse qu'il obtient de Maïko ne semble pas le satisfaire, aussi lui pose t il deux ou trois questions pertinentes qui «ouvrent les vannes». Maître me fait signe que je peux approcher, je la prends contre moi ,sa tête posée sur mon épaule , ses bras autour de mon cou ,elle laisse couler ses larmes libératrices. Moment d'émotion pour elle, pour nous tous...

     

    Le calme revient sur le visage de Maïko, un léger sourire se dessine...

    Maître me demande de m'allonger par terre sur le dos les jambes écartées et demande à Maïko de se mettre à genoux entre mes jambes. Il s'approche d'elle et lui tend un martinet lui demandant de me fouetter la poitrine... Moment d'hésitation puis les premiers coups, légers... «Ne fais pas semblant!!» lance t il «recommence».

    Et Maïko reprend, son geste est plus marqué, au fur et à mesure ses coups sont plus portés, plus rapides... Sous les ordres de Maître son bras s'applique , de plus en plus vite, de plus en plus fort... Laissant s'échapper des gémissements comme pour accompagner ses coups, en ressentir d'avantage la force, la volonté d obéir à l'ordre reçu ...ou le besoin d'extérioriser d'anciennes douleurs...

     

    Maître avait pris la précaution de choisir un martinet inoffensif, il sait que ma résistance à la douleur à des limites et bien que très consciente de la violence qui animait le bras de Maïko, la caresse des lanières commençait à faire son effet, j'allais même à leur rencontre me soulevant sur les coudes pour offrir mes seins à cette singulière sensation.

    Singulière et étrange sensation que ce mélange, la caresse des lanières, celle des doigts de Maïko qui s'égaraient sur mon sexe, alternant ainsi la «violente» caresse des lanières avec la douceur de ses doigts. Je ne savais plus la quelle m'emporterait, je ne savais plus la quelle je «regrettais» de ne plus avoir, était ce ses doigts quand le martinet oeuvrait ou au contraire le manque des lanières quand les doigts s'activaient...

    Les premiers pas de Maïko sont lourds de découverte, sur elle, sur sa volonté. J'ai moi aussi découvert ce jour là , bien qu'il ne me faille plus de preuve pour en être certaine, que, par delà la découverte de ces plaisirs particuliers qui font qu'ils se transforment en moments d'extase, j'ai autant, sinon plus de plaisir encore à le partager. Des moments uniques ou l'altruisme prend tout son sens.

    Merci à Maïko pour sa farouche et si touchante volonté à vouloir atteindre les étoiles, merci à S. pour l'accompagnement.

     

     

     


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    6 commentaires
  • Et puis...des fous rires, des regards complices, regards de tendresse, d'attente...

    Ta main qui cherche la mienne, ta tête sur mon épaule...

    Moments de partage, je te donne, tu prends...encore dis tu...je te donne moi aussi..viens...

    Approche, nous sommes égales, nous sommes les mêmes...

    Sensibles, espiègles, mutines, câlines, femmes...Et chiennes à la fois...pour le plaisir.

    Merci Emy, ma belle et douce complice, pour cette belle journée d'intense partage. Tendre câlin.

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